Ses Opérettes

L'Auberge qui chante (1941)

 

   

Le 4 octobre il crée à la Gaîté Lyrique le 4 octobre L'AUBERGE QUI CHANTE. Il obtient un succès délirant. Sa voix irrésistible fait merveille auprès du public. On le surnomme "Le Ténor à la voix d'or".

 

Valses de France (1942)

 

 

Le 23 décembre au Châtelet il crée VALSES DE FRANCE. Cette opérette raconte la vie du célèbre ténor toulousain Victor Capoul. Le Directeur du théâtre du Châtelet, Maurice Lehmann, donne à André Dassary comme partenaire Lily Grandval de l'Opéra Comique.

 

L'Ingénue de Londres (1946)

 

 

Le 7 juin au théâtre de l'ambigu à Paris, il crée L'INGENUE DE LONDRES.

 

Chanson gitane (1946)

 

 

Le 13 décembre voit la création de l'une des plus belles opérettes de ses 30 dernières années, à la Gaîté Lyrique, CHANSON GITANE. Il jouera cette opérette plus de 3600 fois, pour des millions de spectateurs, sous des applaudissements chaleureux. André Dassary chante dans cette oeuvre ce que peut trouver de mieux un ténor. L'enchantement d'un beau soir d'été est une page digne de nos meilleurs moments lyriques. Son interprétation Au Pas Du Petit Poney avec ses deux partenaires, déclanche tous les soirs une ovation du public obligeant le trio à reprendre plusieurs fois cet air fantastique.

 

Symphonie Portugaise (1949)

 

 

Le 29 octobre La Gaîté Lyrique accueille de nouveau André Dassary dans SYMPHONIE PORTUGAISE, sur des paroles de Raymond Vincy et de Marc Cab et une musique de José Padilla.

 

La Grande Duchesse de Gerolstein (1950)

 

 

Il reprend à l'opéra de Monte-Carlo le rôle de Fritz dans LA GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN.

 

La Toison d'Or (1954)

 

 

Le 18 décembre il retourne au théâtre du Châtelet pour y créer LA TOISON D'OR. Il part jouer cette opérette au Capitole de Toulouse, comme il va battre le record d'entrées de ce théâtre, la municipalité lui offre une médaille sur laquelle est gravée à ANDRE DASSARY CHAMPION DU CAPITOLE.

 

La Route qui chante (1957)

 

 

Le 3 mai le cirque Médrano lui propose d'interpréter LA ROUTE QUI CHANTE. Cette fantaisie musicale est écrite par Raymond Vinci dans une mise en scène de Pascali.

 

Rose de Noël (1958)

 

 

Le 23 décembre Maurice Lehmann lui demande de revenir à nouveau au théâtre du Châtelet pour une nouvelle création ROSE DE NOEL sur une musique de l'incomparable Frantz Lehar. Ce dernier mort 10 ans auparavant a laissé des musiques dans les tiroirs du conservatoire de Budapest retrouvées par son ami le professeur Miklos Rekai qui les adaptent pour cette opérette retraçant une partie de la vie de Frantz Lehar ou est mêlée la Princesse Sissi et le Comte Michel Andrassy. André Dassary soulève l'enthousiasme avec la romance Mon Beau Ciel Bleu. Sur l'air tzigane Déjà accompagné tout spécialement par le savant archet de Raymond Verney il montre sa vaillance vocale habituelle mais aussi son art de la demi-teinte qui lui vaut un triomphe mérité. A chaque représentation le public lui demande de rechanter cet air jusqu'à 5 fois de suite. C'est du délire.

 

Saute aux Prunes (1964)

 

 

Le 14 novembre Il fera sa dernière création au Capitole de Toulouse SAUTE AUX PRUNES d'Alexandre Breffort.

 

Affiches de Théâtre :